Depuis quelques mois, la crainte d’une propagation nouvelle du coronavirus est éminente. En effet, la nouvelle forme du Covid-19 découvert en grande Bretagne et en Afrique : le variant du Sras-CoV-2 présente une attaque plus rapide que la souche mère. Afin d’y faire face efficacement, presque tous les pays se conforment au protocole de vaccination.
Disparition de la souche initiale
C'est en 2019, plus précisément à Wuhan en Chine qu’est apparu pour la première fois le virus du covid-19. Aujourd’hui, la souche mère s’efface peu à peu laissant émerger une nouvelle séquence plus résistante au système immunitaire et plus dangereuse que la première. Les scientifiques parlent de « 11 lignées retracées sur un arbre phylogénétique, sorte de généalogie des infections, où chaque point représente un échantillon séquencé.
Ces lignées divergent génétiquement et sont caractérisées en fonction du nombre et du type de mutations acquises lors de la circulation du coronavirus ». Si pour le moment, ils sont sans conséquences, ce ne serait pas une raison pour ne pas prendre en compte le risque éventuel qu’ils présentent.
Mutation rapide et propagation inquiétante
Avec les résultats présentés par les divers scientifiques, on constate que la souche mère du Covid-19 n’est plus la même un an après. En réalité, si l’on considère que la maladie du covid-19 n’a connu aucune évolution jusqu’à ce jour, ce ne fût pas le cas du virus en question. Selon les experts scientifiques, voilà comment l’on pourrait résumer toutes les expérimentations faites.
Ils finissent par expliquer que « la particule du Sras-CoV-2 comme un petit livre composé d'environ 29.900 lettres, uniquement des A, C, G et U ». « Placées dans un ordre précis, elles composent un bout de code génétique sous forme de brin d'ARN » finiront-ils par admettre. Il est donc question d’une séquence issue de 15 gènes composé de plusieurs lettres produisant une forme d’ARNm précis.